30 mai 2013

Nos outils de communication

Il est temps de faire un point sur tous nos outils de communication et tout regrouper dans un article. Ça sera utile à tous et aussi à nous.

 

Un blog

On a tout d'abord ce blog, qui nous sert essentiellement à communiquer sur notre avancement et sur des articles de fond. Toute personne motivée peut prendre la plume pour l'alimenter : l'article sera cependant soumis au comité de censure très à cheval sur le vocabulaire employé. Pour suivre les mises à jour du blog, inscrivez vous à la newsletter en remplissant le formulaire ci-contre.

Un forum évolué : google groupe

Puis il y a le google groupe Pixel humain : c'est le lieu d'échange privilégié pour converser sur des sujets touchant à la mise en place des fonctionnalités du Pixel Humain. C'est ouvert à tous : venez apporter votre grain de sel à la création de ce projet démocratique.

Socialement connecté

Le groupe facebook, pour les socialement connectés permet de suivre les news du moment (des vidéos, des articles, des photos...), et de les commenter, de les partager...

Bookmarking

Pour ceux qui veulent suivre l'actualité de la démocratie participative et collective, des alternatives économiques et des nouvelles tendances du monde du libre (open source, open data, open democracy...), inscrivez vous à notre Diigo. Ce moteur de bookmarking social vous donnera accès à notre veille et à notre sélection d'articles sur le sujet. A vous de l'enrichir si vous débusquez une information qui serait passer à travers les mailles de nos filets.

Gestion de projet

Nous voulons construire un projet de réseau social démocratique qui prone la prise de décision collective. Donc quoi de plus normale que nous ayons choisi de faire participer le plus grand nombre à la réalisation de ce projet. Nous prônons la transparence (Trello : notre outil de gestion de gestion de projet, accessible en lecture) et parions sur la participation de tous. Tous nos outils sont ouverts et n'attendent que votre participation, vos commentaires, vos idées afin d'avancer plus vite et plus loin.

23 mai 2013

PixelHumain 05/23/2013

  • Tags: pixelhumain

    • Il faut en particulier identifier les ressources et conditions de réussites de cette ville comme plate-forme : qu’est-ce qu’on peut partager, sous quelles conditions ? Quelles sont les infrastructures nécessaires, qui les exploite ? Qui les installe ? Quelles sont les conditions d’accès ? Que doit-on attendre de chacun et avec quelles contreparties ?…
    • Une ville comme plateforme d’innovation ouverte c’est mettre en place des dispositifs qui favorisent la floraison d’idées neuves, de projets et d’expérimentations, d’innovations de terrain : nouveaux services ou nouveaux outils à disposition des habitants, adaptation des services à des publics particuliers que les grands acteurs ne peuvent pas connaître, agencements inventifs de composants jusqu’alors disjoints, nouveaux modes d’accès et de délivrance des services… C’est aussi une ville qui donne à tous (associations, petites et grandes entreprises, acteurs publics, individus) la possibilité d’imaginer et d’innover dans des conditions claires, simples, transparentes et qui encouragent les partenariats. C’est enfin une ville ouverte aux détournements, à l’intervention active ou fortuite des utilisateurs eux-même.
    • e partage et l’ouverture des données.
    • La mise à disposition d’infrastructures de services mutualisées
    • L’implication des usagers.

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17 mai 2013

PixelHumain 05/17/2013

  • Tags: pixelhumain

    • Je suis fermement convaincu que l'esprit d'innovation est le moteur de la croissance économique, répond aux défis civiques les plus importants et améliore l'environnement pour tous les résidents de San Francisco
    • créer autant de valeur que possible avec peu ou pas de capital 
    •  très souvent, les meilleures idées viennent de l'extérieur
    • En donnant accès aux données de la ville et en mettant à disposition des résidents de nouveaux canaux d'expression pour partager leurs préoccupations ou leurs idées, nous améliorons l'accessibilité et la transparence des autorités.
    • Comme l'explique le rapport, les autorités doivent être une plateforme pour l'innovation et apporter leur soutien aux innovations « qui peuvent elles-mêmes servir de plateforme pour le lancement d'autres innovations »
    • communauté de ceux qui apportent des solutions » et la mairie. Chacun peut parcourir les défis civiques et proposer les projets pour les résoudre.
    • ImproveSF.com est une plateforme ouverte d'innovation qui met en contact la «

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16 mai 2013

PixelHumain 05/16/2013

  • Tags: pixelhumain

    • Le système démocratique repose sur trois assemblées : les participants de « la Boulée » sont tirés au sort, l’Ecclésia et l’Héliée accueillant l’ensemble des citoyens males d’Athènes désireux d’y participer. Les « magistrats » formant l’exécutif sont tirés au sort chaque année, doivent subir un examen préalable de moralité et de probité et sont contrôlés au sens propre par les Assemblées populaires. Un habile mécanisme de pouvoir et contrepouvoir entre les différentes Assemblées équilibre la Démocratie athénienne qui durera 200 ans.
    • La fin de la République d’Athènes s’explique au moins partiellement par le déséquilibre d’une Démocratie ou le pouvoir du peuple était absolu, aucun contrepouvoir ne le contrebalançant.
    • Notre Démocratie représentative souffre d’un mal différent mais finalement similaire.
    • Les élus du peuple nous représentent et nous gouvernent en théorie pour le bien de tous. Comme nous le voyons tous, dans la réalité, ce mode de gouvernement ne favorise qu’une minorité de citoyens malgré les promesses renouvelées mais jamais tenues ; le creusement des inégalités et du chômage depuis 40 ans sont des faits, les discours tenus depuis 40 ans ne sont que des mots. Notre système de gouvernement profite à un cercle de plus en plus étroit, pour le bien de quelques-uns et non le bien commun : il tend vers un mode oligarchique.
    • Les hommes étant ce qu’ils sont, ils résistent rarement à la corrosion du pouvoir. Ce système centrifuge s’autodétruit, court à sa perte et entraine le pays sur une pente descendante. La clé de cet échec est un défaut évident des Institutions : l’absence de contrepouvoir des citoyens sur les élites politiques pendant leur mandat.
    • Aristote pensait que le meilleur système politique n’était ni la Démocratie absolue comme celle d’Athènes, ni la monarchie, ni l’Aristocratie mais la Politeia  : un système d’élus par la peuple, en situation de gouverner mais contrôlés au sens propre par le peuple. L’avenir de notre pays nécessite la création d’une Démocratie différente de celle que nous a léguée la Révolution Française. Un mélange de Démocratie représentative et de Démocratie directe permettrait d’équilibrer le pouvoir des élites et le pouvoir du peuple, créant une situation vertueuse.
    • Le Sénat aurait la charge :


      De définir les augmentations de salaires et les avantages des élus de la République,
       

      De nommer les juges du Parquet ce qui mettrait fin au problème de l’indépendance de la justice,
       

      De nommer ou de procéder au tirage au sort des experts aptes à diriger les agences du médicament (ce qui évitera de nouvelles affaires Médiator …), de l’alimentation, de la CNIL, et d’autres comités … 
       

      De faire les lois avec le Parlement comme le Sénat actuel.

    • On peut imaginer ainsi une VIème République très proche de la Vème avec une différence clé : un Sénat constitué de citoyens tirés au sort parmi les Français âgés de 25 à 65 ans n’ayant eu aucun problème avec la justice,  désignés pour une durée de 3 ans. Ce système fait sourire certains mais la République d’Athènes a duré 200 ans soit plus que notre République ! Et le niveau d’éducation y était moins bien partagée que de nos jours.
    • Des Referendum d’initiative populaire, comme la Suisse les pratique intelligemment, sortiront aussi le citoyen de l’ombre et lui donneront les moyens de peser sur la vie de la Cité.
    • Quoi de plus exaltant pour notre jeunesse que d’inventer la Démocratie du futur, avec toute la prudence qui s’impose cependant. La France a d’une certaine manière inventé la Démocratie moderne en 1789, notre pays saura-t-il réinventer la Démocratie ?

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14 mai 2013

3 mai 2013

PixelHumain 05/03/2013


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2 mai 2013

PixelHumain 05/02/2013

  • Tags: pixelhumain

    • il n’y a plus vraiment de projet alternatif de société qui soit au devant de la scène, qui ait su convaincre et rassembler une part significative des citoyens. D’aucuns ont pu parler de « fin de l’histoire », de l’avènement universel et définitif de la démocratie de marché, en souscrivant à la formule de Churchill selon laquelle le système dans lequel nous sommes serait le moins mauvais.
    • Salariat et impuissance VS petites entreprises autonomes et solidarités locales : un projet de société non débattu
    • RETROUVER L’ESPOIR D’AMÉLIORER LA SOCIÉTÉ DE MANIÈRE PACIFIQUE, TRANQUILLE ET RATIONNELLE
    • Faute d’alternative, et par peur que toute tentative de changement radical de la société soit nous fasse perdre notre qualité de vie et nos avantages, soit, pire, conduise à un remède bien pire que le mal (fascisme, totalitarisme, destruction des libertés…) nous nous résignons à un a-politisme dégoûté
    • et passons notre temps à critiquer nos dirigeants, sans toutefois bien savoir ce qu’ils devraient faire.
    • Si nous envisageons l’histoire du développement économique dans sa globalité, il n’y a rien d’étonnant à conclure qu’il a partout été imposé par le haut.
    • L’imposition des dogmes, de la législation libérale et de la société de marché (tout est fait notamment pour que la terre et le travail, jusqu’alors considérés comme hors commerce, deviennent des marchandises comme les autres, soumises à la loi de l’offre et de la demande
    • Autonomies économiques et autonomies politiques sont indissociables.
    • C’est pourquoi, aux États-Unis par exemple, quand apparait le salariat, il est tout de suite perçu comme une nouvelle forme d’esclavage et considéré comme très très dangereux pour la société. « Les travaux historiques récents sont curieusement silencieux sur l’opposition largement répandue au travail salarié des XVIII et XIX siècles (…) Le malaise général lié à l’ordre nouveau économique trouvait pourtant son opposition la plus saisissante dans la condamnation presque universelle du travail salarié. Langton Byllesby, un imprimeur de Philadelphie, avançait en 1826 que le travail salarié, qui mettait fin au « choix de travailler ou non », était l’ « essence même de l’esclavage ».
    • out homme n’ayant comme moyen de subsistance que ce que lui rapporte son travail ne peut être un homme libre, dans le présent état de la société. Il se doit d’être un humble esclave du capital.
    • Un combat mettant en avant la tradition de Républicanisme participatif et de Démocratisme radical et le fait que tout être humain non seulement était compétent pour participer à la prise de décision politique, mais devait le faire, pour le bien de tous.
    • MARCHANDISATION DU MONDE ET DESTRUCTION DES PETITS PRODUCTEURS AU BÉNÉFICE DES GRANDES ENTREPRISES : UN MOUVEMENT IMPOSE PAR LE HAUT à RENVERSER PAR LE BAS
    • Une loi du marché qui conduit automatiquement aux concentrations et absorptions, et à la destruction des petites entités productives : une loi du marché, qui sous couvert de concurrence, détruit en réalité toute concurrence, ou plutôt impose une concurrence unique entre une poignée de grands géants économiques et financiers, aux dépens des milliards d’êtres humains qui ne comptent pas parmi leurs actionnaires.
    • Il ne s’agit pas de mettre fin au salariat. Il s’agit de mettre un terme à sa généralisation excessive, pour permettre au maximum de personnes d’être maîtresses d’elles-mêmes et de leur activité, de leurs moyens de production, de leur travail et de leur vie.
    • Enfin, nous ne ferions pas ce que le « marché » nous ordonne de faire, mais ce que nous voudrions faire au service de notre communauté.
    • Nous consacrerions nos vies et nos énergies à quelque chose dont nous pourrions être fiers.
    • La seule difficulté, au-delà du défaut de volonté politique, à une complète alternative sociale et économique de ce type, est la non-viabilité financière de ces petites entreprises artisanales, industrielles ou agricoles face à la concurrence des grands groupes, des multinationales et des produits importés d’Asie ou d’ailleurs et ne coûtant rien. De nombreux outils économiques existent qui nous permettraient de soutenir un tel changement de société. Mais nous ne pourrons sûrement pas faire l’impasse sur des mesures protectionnistes sectorielles
    • La seule solution pour faire face à la fois à nos problèmes de société et à la déliquescence de l’économie nationale et du système économique international est de recréer de vraies économies locales, basées sur nos besoins, nos désirs et nos aspirations, librement.

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