30 novembre 2013

PixelHumain 11/30/2013

  • Tags: no_tag

    • Rendre ses données accessible au public, et après?
    • «Une fois ouvertes, ces informations sont peu utilisées sans motivations»
    • . Le spécialiste conseille la mise en place d’un concours adressé au développeurs d’applications et de site Internet.
    • La SNCF a, par exemple, demandé à ses usagers de lui faire part de ses propositions d’applications pour améliorer le service des trains de banlieue. Parmi les vainqueurs se trouve un programme donnant le taux de remplissage des rames de trains.
    • En Suisse, les Transports publics genevois ont été les premiers à ouvrir leur base de données contenant les horaires en temps réels. Un concours a été lancé et cent demandes de fichiers ont été faites, se félicite Antoine Stroh, son responsable de l’Open data

Posted from Diigo. The rest of Pixel Humain - democracie participative group favorite links are here.

28 novembre 2013

PixelHumain 11/28/2013

  • Tags: bitcoin, pixelhumain

    • Une solution idéale serait de proposer un système d’échange monétaire libre et décentralisé. Un tel système existe et a un nom : Bitcoin.

      Techniquement, le fonctionnement de Bitcoin est relativement complexe, se basant sur des algorithmes cryptographiques et le peer-to-peer. Le gros problème d’une monnaie virtuelle est d’éviter la « double dépense ». Par essence, une information virtuelle peut être répliquée à l’infini, problème qui tracasse l’industrie musicale depuis plusieurs années.

      Bitcoin résout ce problème en utilisant le peer-to-peer. Lorsque Alice donne un bitcoin à Bob, elle rend la transaction publique. Les participants au réseau bitcoin (les « mineurs ») vérifient que la transaction est légitime en s’assurant que, dans leur historique des transactions, Alice est bien la dernière personne à avoir reçu ce bitcoin précis, chaque bitcoin étant unique. Les « mineurs » annoncent sur le réseau que la transaction est confirmée. Quand suffisamment de « mineurs » ont confirmé la transaction, Bob peut considérer que Alice ne pourra plus dépenser son bitcoin et qu’il en est donc le propriétaire. Si Alice tente de redépenser son bitcoin, les « mineurs » refuseront la transaction, arguant que, d’après l’historique, Bob est le légitime propriétaire du bitcoin.

      Pour encourager les « mineurs » à faire ce travail de vérification, le réseau gratifie le premier mineur à vérifier chaque bloc de transactions d’un bonus. Ce bonus, qui est pour le moment de 50 bitcoins, décroît avec le temps et a pour conséquence de distribuer la monnaie graduellement à travers le réseau.

    • Le nombre de bitcoins ainsi générés étant une fonction décroissante, on a pu calculer que le nombre total de bitcoins ne dépasserait jamais 21 millions.

      Intrinsèquement, le bitcoin n’a aucune valeur. C’est juste la preuve qu’un échange a été fait. Mais n’en est-il pas de même pour n’importe quelle monnaie ?

    • Une véritable économie parallèle s’est développée, principalement basée sur la spéculation. La valeur du bitcoin est passée de 0,01€ en novembre 2010 à 25€ en mai 2011, avant de redescendre aux alentours de 10€ en juin 2011.
    • Beaucoup s’étonnent notamment au fait d’attacher de la valeur à quelque chose qui n’en a pas. À ce sujet, le bitcoin ne diffère pas d’un bout de papier ou même d’un morceau de métal jaune brillant. La valeur attachée à un objet est en effet liée à la confiance que le possesseur a de pouvoir échanger cet objet. Mais entre accorder sa confiance à un gouvernement et l’accorder à un réseau P2P décentralisé, il y a un pas que beaucoup hésitent à franchir.
    • Bitcoin peut être considéré comme un gigantesque SEL à l’échelle d’Internet.
    • Le bitcoin n’est-il pas une gigantesque pyramide de Ponzi ?
    • Si elle n’est pas exempte de critiques, Bitcoin semble à ce jour la seule alternative libre et décentralisée utilisable.
    • mon plus grand cauchemar est de me réveiller un matin avec une petite tête blonde me demandant auprès de mon lit: « Papa, tu faisais quoi quand les crédits Facebook sont devenus l’unique moyen de paiement sur internet ? »

Posted from Diigo. The rest of Pixel Humain - democracie participative group favorite links are here.

23 novembre 2013

PixelHumain 11/23/2013

  • Radio : Retour d'expérience de V. Ricordeau le co fonfateur de kisskissbankbank sur les projets de crowdfunding. 

    Tags: no_tag

    • Les clés de la finance participative
    • Plus de 1500 plateformes internet, près de 6 milliards de dollars mobilisés à travers le monde en 2013, la finance participative n’est plus un micro phénomène, mais une véritable source de financement pour créer votre entreprise, ou monter un projet artistique. Comment ça fonctionne ? Pouvez-vous en bénéficier ?

Posted from Diigo. The rest of Pixel Humain - democracie participative group favorite links are here.

21 novembre 2013

PixelHumain 11/21/2013


Posted from Diigo. The rest of Pixel Humain - democracie participative group favorite links are here.

15 novembre 2013

PixelHumain 11/15/2013

  • Tags: pixelhumain

    • Le projet de loi habilitant le Gouvernement à simplifier les relations entre l’administration et les citoyens a été publié le 13 novembre. Une première révolution est déjà actée par le texte : le silence gardé par l’administration vaudra désormais acceptation, une mesure qui rentrera en vigueur dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la loi pour les décisions de l’Etat, et de deux ans pour celles émanant des collectivités locales.
    • des mesures vont être prises pour permettre aux administrés de saisir les autorités administratives par voie électronique, et de leur répondre par la même voie.
    • Le gouvernement est également autorisé à simplifier les démarches auprès des administrations et l’instruction des demandes, en les adaptant aux évolutions technologiques.
    • Un code relatif aux relations entre le public et les administrations va être élaboré, qui regroupera et organisera les règles générales relatives aux procédures administratives non contentieuses régissant les relations entre le public et les administrations de l’Etat et des collectivités territoriales, les établissements publics et les organismes chargés d’une mission de service public. Il rassemblera les règles générales relatives au régime des actes administratifs.
    • Il faudra évidemment que les technologies suivent et que soient mises en place des interfaces accessibles et fiables pour les administrés. On garde encore en mémoire les ratés de la mise en place d’outils de communication entre les collectivités locales et les services de l’Etat de type Chorus, qui ont mis plusieurs mois, voire années, à être opérationnels.

Posted from Diigo. The rest of Pixel Humain - democracie participative group favorite links are here.